Émergence d'un cadre de coopération commun
au sein de l'écosystème des alternatives bruxelloises
POURQUOI ?
Isolées, les alternatives bruxelloises sont impuissantes à répondre aux urgences sociales et environnementales.
Comment rassembler leurs énergies, leurs ressources, afin d'optimiser leur pouvoir d'action ?
QUOI ?
Lieux
CRÉER UN LIEU COMMUN, UN « FOYER DU CHANGEMENT », SOIT :
Données
L'intention est de contribuer au développement d’un outil de communication libre (non-propriétaire), géré par (et pour) les alternatives locales : une « bibliothèque de données l’API de la plateforme In Common) qui permettra de (1) mettre en commun les données des alternatives bruxelloises (faire converger leurs informations), (2) de mutualiser le travail de mise à jour des données, et in fine (3) de permettre aux différents acteurs de participer à la co-construction d’un bien commun informationnel (In Common), vecteur de communication entre alternatives et vers les publics.
Forces vives
De nombreuses alternatives « perdent » beaucoup de temps et d’argent pour des tâches administratives (comptabilité, gestion, etc.) ou opérationnelles (communication, informatique, etc.), généralement parce qu’elles n’ont pas les compétences, ni les moyens d’engager des personnes qui le sont pour réaliser ces travaux.
L'intention est de créer un groupement d’employeurs permettant d’engager collectivement sous contrat des personnes compétentes dans certains domaines et répartir leurs temps de travail entre les alternatives membres et bénéficiaires.
Moyens d'échanges
Les échanges (économiques, de biens et services) entre les alternatives sont dépendants du marché et de l’euro ou fondés sur le bénévolat. Dans un cas comme dans l’autre, cela pose des limites.
L'intention est de créer un système d’échanges plus ouvert qui puisse permettre de ne pas faire un recourt systématique à l’euro (qui exclut ceux qui n’en n’ont pas assez) sans pour autant être dépendant de la bonne volonté (rétribuer les services bénévoles).
AVEC QUI ?
Un comité de pilotage du projet a été mis en place avec pour mission de valider les décisions stratégiques, surveiller leur mise en œuvre, nourrir le projet avec l’expérience de ses membres et relayer le projet dans les réseaux respectifs. Ce comité est composé de représentant de différents secteurs :
Enfin, une première série de co-chercheurs a déjà intégré différentes thématiques du projet (cfr. Point 3) : Le Bral, Communa, Mycélium